ma démarche



lumière

 






vision
En 3D comme en photo, la lumière décide de tout. C’est elle qui hiérarchise l’information dans l’image : ce qu’on voit en premier, ce qui reste en arrière-plan. Un rayon qui glisse sur un sol, une ombre qui s’étire sur un mur, changent la lecture d’un espace.
Je passe souvent plus de temps à travailler ma lumière qu’à ajuster les modèles 3D, parce que c’est là que se joue la crédibilité.




Une image doit servir le projet, pas l’inverse. Dans mon travail, je cherche à traduire au mieux l’intention de l’architecte pour qu’elle soit claire, compréhensible et séduisante pour celui qui la regarde. J’essaie toujours de trouver le bon équilibre entre la rigueur technique et une atmosphère qui donne envie de se projeter.
Pas besoin d’effets spectaculaires.
Si la lumière, la matière et le cadrage sont justes, l’image parle d’elle-même.





 
Un cadrage, ce n’est pas seulement un point de vue : c’est une décision sur ce qu’on veut montrer et ce qu’on choisit de taire. Selon l’angle, un même espace peut sembler monumental ou intime, accueillant ou distant.
C’est une mise en scène qui doit paraître naturelle, car elle va aussi conditionner entièrement la lecture du projet.




Photographier un environnement ou modéliser un projet inédit répond à la même logique, celle de composer avec un espace. Dans mon travail, l’intégration photographique représente alors une étape majeure et nécessaire à la crédibilité de l’image. Dans un cas, je travaille avec la lumière telle qu’elle se présente, dans l’autre, je la construis.
Ce va-et-vient m’oblige à rester attentif : à l’échelle, aux volumes, à la manière dont un lieu se raconte.
C’est cette double pratique qui nourrit mes images et les rend plus convaincantes.
cadrage








photographie  





temps et usage  








matière  
Un bâtiment n’a pas la même allure au petit matin, sous la pluie ou en pleine nuit. Montrer ces variations, c’est suggérer la vie future du lieu, son appropriation au fil des heures et des saisons. Une façade se révèle différemment selon la lumière ; un espace intérieur change d’atmosphère selon son usage.
Ces nuances animent les images et les rendent plus proches de l’expérience réelle.




Un bois trop parfait ou un béton trop lisse, et tout devient artificiel. Rendre crédible une image, c’est donner de l’épaisseur aux matériaux, laisser parler leurs irrégularités. Ces détails, presque imperceptibles, installent l’image dans le réel.
Sans eux, l’illusion se brise immédiatement.
 


 


 
Une image n’est pas une décoration, c’est un outil. Elle peut convaincre, séduire ou simplement expliquer, selon le besoin. Comprendre à qui elle s’adresse et dans quel contexte elle sera utilisée change totalement la manière de la concevoir.
Une image bien pensée ne s’impose pas, elle fait avancer le projet.




Une bonne image ne se construit pas seul derrière un écran. Elle naît d’échanges, d’ajustements, de retours précis qui guident le rendu vers l’intention du projet. Chaque étape permet de clarifier : quel axe privilégier, quelle atmosphère viser, quel détail mettre en avant.
C’est ce dialogue constant avec l’architecte qui transforme une simple commande en une image vraiment juste.
  commande







  collaboration



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